Structure d’incantation arcaniqueCeci représente les mots de pouvoir en fonction du cercle arcanique du sortilège lancé. Il représente l’ouverture du sortilège, accumulant progressivement la puissance nécessaire à canaliser l’effet désiré.
Vient ensuite le type de sortilège utilisé, par exemple, Aelis pour une attaque à distance ou Quaniel pour un sortilège de protection.
On place ensuite le nom du sortilège, servant de description de l’effet désiré, ou de point focal à la volonté magique. Exemple, Delayah pour une flèche, ou Khorvael pour un cercle.
Finalement on referme l’appel avec le nom de l’école arcanique appropriée. Nubis pour le feu, Whendar pour la terre, etc.
Ainsi tout sortilège arcanique possède entre 4 et 16 mots d’incantations. Toute incantation se doit d’être prononcée au rythme de 1 mot par seconde environ afin de laisser le temps à l’énergie de se bâtir et de se stabiliser.
Donc par exemple, Anthar Dekhar Terhar Aelis Delayah Whendar, indique que le sortilège incanté est de 3e cercle de puissance, qu’il se manifestera à distance, qu’il aura la forme d’une flèche et qu’il sera de l’école de géomancie.
Tout mage qui parvient à maitriser le langage arcanique ne sera jamais pris au dépourvu.
Structure d’incantation tellurique ou théurgiqueCeci représente les mots de pouvoir en fonction du cercle tellurique ou théurgique du sortilège lancé. Il représente l’ouverture du sortilège, accumulant progressivement la puissance nécessaire à canaliser l’effet désiré. Ils se doivent d'être dit à un rythme permettant d’entendre clairement chacune des paroles de l’incantation.
Le niveau d'ouverture indiquant la puissance du sortilège qui va suivre.